Notre soutien va à tous les enfants et plus à un enfant en particulier !

« Chaque enfant a le droit de connaître l’insouciance de l’enfance, de trouver de la chaleur et d’avoir tout ce dont il a besoin pour devenir un adulte fort, » nous confie Hans. « Je suis très attaché à ce principe et je trouve que cela se retrouve chez SOS Villages d'Enfants, C'est ce à quoi je souhaite contribuer à ma manière en tant que donateur régulier. »

L'évolution du parrainage 
Pour Hans, le passage du soutien d’un enfant spécifique au soutien du projet global de SOS Villages d'Enfants s'est fait progressivement. « En 2022, l’enfant que je soutenais a quitté le village d’enfants dans lequel il grandissait et il m’a été proposé de soutenir l’entièreté du village d’enfants. J'ai trouvé que c'était une transition intelligente. Notre soutien va depuis à tous les enfants et plus à un enfant en particulier. Je trouve que c’est plus démocratique. Soutenir le bien-être global d'une communauté me semble beaucoup mieux. Pour moi, la transition vers le nouveau concept s'est donc faite de manière très naturelle. Lorsque SOS Villages d’Enfants a annoncé que le concept du parrainage individuel allait évoluer, je ne pouvais que m'en réjouir. Cette approche me parait bien plus juste. »

Ambassadeur de SOS Kinderdorpen
« Il m'arrive de parler aux gens de mon engagement pour SOS Villages d'Enfants. Ce qui est bien, c'est que l'on reçoit régulièrement la réaction suivante : « Ah ? Nous aussi ! » Le nombre de personnes qui soutiennent régulièrement n'est pas aussi rare qu'on le pense. » Hans ne sait pas si son enthousiasme fait des émules et si cela a un effet sur le soutien apporté à SOS Villages d'Enfants. « Je ne suis pas un recruteur, je laisse les gens totalement libres de faire ce qu'ils veulent de mon expérience et de mon histoire ! » s'amuse-t-il.

Avide d'informations sur les projets
« Je lis votre magazine et le rapport d'impact d'un bout à l'autre. Je suis également avec beaucoup d'attention les histoires de Chantevent et des autres projets belges. C'est très bien ce qui se passe. » Récemment, Hans a croisé SOS Villages d'Enfants à l'Affordable Art Fair de Bruxelles avec un projet participatif qui ne l'a pas laissé indifférent, le ‘Bijou de Ville’. « Je suis convaincu de l'importance d'une œuvre d'art pour victimes de traumatismes pendant l’enfance. Je suis agréablement surpris que cette œuvre soit créée en collaboration avec des survivants et qu'elle ait sa place au cœur de Bruxelles. » Hans estime que cette œuvre s'inscrit également dans le cadre plus large de SOS Villages d'Enfants. « Il s'agit également de la sécurité des enfants et c'est peut-être la chose la plus importante de toutes... »

Qui est Hans ?
Hans travaille au département des Soins de santé de l'INAMI, l'institut du gouvernement fédéral qui s'occupe des soins de santé et des prestations pour toutes les personnes couvertes par l'assurance obligatoire en Belgique.