À propos de SOS Villages d'Enfants

L’importance de la communauté et des liens

Joke Wellens, ingénieure agronome, gère une ferme de lamas où elle lie le bien-être animal à la science. Elle partage son lien avec SOS Villages d’Enfants, une relation qui a évolué d’une connaissance superficielle de l’organisation à une compréhension plus profonde de sa mission et un engagement personnel renforcé.

file (3)-min

« Mon engagement envers SOS Villages d'Enfants m’a été transmis par ma mère, c’est apparemment quelque chose qui se transmet de génération en génération », sourit-elle. « Quand je pensais à SOS Villages d'Enfants, je pensais surtout aux cartes envoyées aux parrains et marraines des enfants de l’organisation », raconte Joke. « Ma perception était assez limitée ; par exemple, je ne savais pas que l’organisation était aussi active en Belgique. Ce qui m'a particulièrement touchée, c’est la façon dont SOS met en avant l’importance de la prise en charge des traumatismes, et le fait de donner la parole aux enfants pour qu’ils partagent l'impact de la guerre sur d’autres enfants… » Joke s’interrompt un instant. « Le travail de SOS Villages d'Enfants Belgique est bien plus vaste et plus beau que ce que je pensais. » 

Un nouvel engagement en tant que mère 

L’arrivée de son fils a changé la relation de Joke avec SOS Villages d'Enfants. « Depuis que je suis mère, je mesure encore davantage l’importance de grandir dans un environnement bienveillant, et je ressens un besoin plus fort de ‘rendre quelque chose’ », explique-t-elle. Pour elle, sa contribution mensuelle est devenue bien plus qu’un soutien financier ; elle est un moyen de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des enfants dans le besoin. « Quand je lis dans le rapport d’impact ce que SOS Villages d’Enfants réalise grâce au soutien, je sais que ma contribution fait la différence. »  

« Je souhaite faire partie de ce groupe de véritables acteurs du changement »

Joke Wellens

L’importance de la communauté et des liens 

Joke exprime son désir de créer un lien plus fort avec l’organisation. Elle aimerait avoir davantage l’occasion de rencontrer d’autres donateurs. « Je recherche ce sentiment de communauté, de préférence lors d’événements en présentiel », confie-telle. « Aujourd’hui, on a parfois l’impression que peu de gens regardent l’avenir de manière positive. Partager de l’optimisme et de l’énergie peut inspirer les autres. Une bonne vieille séance de brainstorming sur comment changer le monde, par exemple. J’aimerais vraiment faire partie de ce groupe de véritables acteurs du changement. »